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mardi 29 juillet 2008

Test Battlefield Bad Company xbox360 / ps3


AVERTISSEMENT : si vous êtes du genre à privilégier les belles images et les belles musiques au plaisir de jeu, changez de site ! Viiite. Ici, apanage (peut-être...) de la quarantaine assumée et de l'expérience associée, seul compte le fun. Quand bien même l'emballage ne suit pas... Bien entendu, quand le mariage du fun, des belles images et des belles musiques est là, c'est tant mieux et nous ne manquerons pas de le souligner. Par ailleurs, les test de Gen68 sont constamment "en devenir". Le test du jeu ne paraît que lorsque je considère avoir quelque chose à en dire. Mais rien n'interdit de progresser dans son jugement, d'apercevoir des choses auparavant inaperçues, de trouver ultérieurement des erreurs grossières jusque là bien cachées et je ne sais quoi d'autre... Tous les articles seront par conséquent édités plusieurs fois. Ça aussi ce doit être l'apanage de la quarantaine !

battlefield bad companyBattlefield ça veut dire champ de bataille. Rarement une licence aura porté aussi bien son nom. Dernier rejeton d’une famille synonyme de bagarre généralisée, Bad Company est la deuxième mouture sur console d’une licence déjà très riche sur PC (avec les illustrissimes Battlefield 1942, Vietnam, 2 et 2142). La première version sur xbox et ps2 je crois, alias Battlefield Modern Combat, était en quelque sorte une version allégée, bien qu’extrêmement fun, des versions PC. Cette fois, et pour la première fois, on peut considérer que DICE, créateur de la licence, a privilégié les consoles de salon au détriment des ordinateurs. D’une part BC n’existe pour le moment que sur xbox360 et ps3. Mais surtout il met en œuvre quelques nouveautés exclusives.

Le principe du jeu est toujours le même. On choisit ce que l’on appelle une « classe » de soldat. Puis les armes parmi celles que l‘on aura débloquées au fur et à mesure de ses exploits. Une fois au feu, vous faites partie soit des attaquants qui doivent gagner les bases adverses, soit des défenseurs qui doivent les garder coûte que coûte (pour l’instant un seul mode de jeu disponible mais d’autres sont à venir dixit DICE). Le long des 8 cartes multi joueur du jeu, reposent deux coffres à détruire dans une base. Une fois ces deux coffres détruits, la base est gagnée par les attaquants et deux autres coffres apparaissent dans une base plus lointaine que les défenseurs doivent dorénavant défendre etc. etc. Selon la taille de la carte, il faut venir à bout de 3 ou 4 bases au total, pour un temps de jeux moyen de 20 minutes par partie environ.
On a deux manières différentes d’entrer en jeu. Soit au dernier lieu défendu pour les défenseurs, gagné pour les attaquants. Soit au sein d’un groupe d’un ou de plusieurs hommes en pleins combats. Les classes disponibles sont:
  • Assaut : classe bien équilibrée en force d’attaque et puissance de feu.
  • Reconnaissance : classe sournoise, qui intervient de loin et que nous sommes beaucoup à affectionner. Le sniper quoi!
  • Soutien : classe à haute puissance de feu, très destructive et capable de « réparer » hommes et véhicules.
  • Artificier : spécialisé notamment dans le lance-roquette.
  • Spécialiste : avec notamment un lanceur de fléchettes émettrices de signaux pour diriger les obus du lance-roquette vers une cible particulière, même sans visibilité.
Qui dit multi joueurs dit communication. L’une des grandes forces des versions PC est l’existence d’une interface de communication très performante à base de clics de souris et de touches clavier. Tout ceci a disparu dans les moutures consoles au profit d’une communication automatique (un blessé demande de l’aide, un soutien avec trousse de soin se signale seul aux autres, un véhicule endommagé "réclame" de l’aide etc. etc.) et, bien entendu, de la voix par micro interposé. Seulement, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi je n’ai jamais trouvé le système de transmission des voix très performant sur nos consoles de salon. Bah, on joue très bien sans…

Venons en donc aux innovations. Première nouveauté de taille, un mode solo convenable et accessoirement drôle. Le solo n’a jamais été le point fort de la série tant elle est axée presque exclusivement sur le multi joueurs. Je ne m’attarderais ni sur le scénario (bof) ni sur ce mode solitaire pour plusieurs raisons. Bien fait, je n’en ai pourtant tiré qu’un plaisir de jeu somme toute mitigé. Les réactions des bots, tant ennemis que copains de chambre déjantés, sont très artificielles et tellement différentes de celles des humains contre lesquels nous sommes habitués à lutter. Par conséquent (et un peu comme d’habitude dans les jeux de cette nature), on peut voir dans le mode solo une sorte de grand didacticiel, fort distrayant, avec un petit goût de reviens-y grâce aux bonus à découvrir dans les multiples niveaux du jeu (les coffres d’or notamment ). On y apprend à utiliser les différentes armes qui sont progressivement introduites ainsi que le maniement des véhicules de toutes sortes : voitures, tanks, bateaux, hélicoptères… Voila. Sympa. ouais, sympa… mais tellement moins que le reste.

Je vous vois venir… le reste c’est le mode multi joueurs bien sûr? Et bien non! Le reste est une véritable révolution, encore à l’état d’ébauche pourtant. Il s’agit de la destructibilité, des-truc-ti-bi-li-té! Pour la première fois dans un tel jeu, la destruction de la quasi-totalité des éléments du champ de bataille (bâtiments, arbres, containers, bouteilles de gaz…) est gérée grâce au le moteur Frosbite développé par DICE. Mieux, le terrain est déformable! Et de manière impressionnante: je me souviens lors de l’une de mes parties sur la démo (je vous rassure, je teste bien la version complète ici!) avoir vu quelques gars de mon équipe jeter à tour de rôle des grenades par terre, sans raison a priori… Quelle ne fut pas ma surprise de voir quelques secondes plus tard le terrain se déformer et constituer progressivement une sorte de cachette en creux pour mieux y attendre les ennemis… Ça c’est génial! Ce qui l’est moins, c’est la destructibilité des éléments sur le terrain. Certes, il est extrêmement cool en terme de gameplay de constater qu’on est plus à l’abri nulle part. Un bâtiment? Et hop, en quelques coups d’artillerie bien placés il n’en reste que les armatures en béton. Autant dire que l’on se retrouve aussi protégé que le petit Jésus le jour de sa naissance! Un arbre? Et hop un coup de mitraille et il est coupé. Un container ? Il y a de fortes chances qu’il soit rempli de gaz et qu’il se comporte comme tel en cas d’attaque au fusil… Il y a meilleur protection hein? Je vous laisse d’ailleurs imaginer le genre de stratégie indirecte que vous pouvez mettre en œuvre grâce à ce type d’interactions. Alors, qu’est-ce qui ne va pas au juste? Et bien, à la longue, on remarque que les dégâts apparaissent systématiquement aux mêmes endroits. Il ne s’agit donc pas d’une réelle destruction qui tiendrait compte du point d’impact et tutti quanti. Mais bien plus d’une destruction globale dont l’effet est le même pour peu que l’on tape un tant soit peu dans une zone donnée. On est très loin des spéculations sur le sujet qui sortaient dans certains milieux « bien informés ». Je me souviens de quelques posts sur un forum au tout début du développement du jeu sur la possibilité attendue de faire, par exemple, un trou dans un mur pour s’y engager en tant que sniper et tirer sur tout ce qui bouge, introuvable. C’est une illusion dans BC. Mais au final, ce n’est pas forcément une mauvaise chose tant le jeu aurait alors été impossible à jouer. Comment dénicher en effet le sniper en question ? Bonjour les crises de nerfs… Par ailleurs, il sera impossible de détruire totalement un bâtiment donné. Même en l’attaquant à artillerie plusieurs fois de suite. Là encore, le moteur montre ses limitations (volontaires?) et les armatures du bâtiment resteront toujours solides. Alors qu’en penser ? L’idée et l’innovation sont tout bonnement géniales. Un grand merci à DICE pour ça. Mais on sent qu’il ne s’agit en réalité que d’une première version de quelque chose qui sera très certainement beaucoup plus abouti dans peu de temps. Ceci étant, restons en à l’essentiel. Ça ajoute du fun, c’est fun, et nous on aime le fun!

En dehors de l‘adoption par les designers d’un filtre vidéo très particulier qui rend l’image « sablonneuse » même si à l’usage l’effet est très réussi, avec 8 cartes, plusieurs modes de jeu à venir, une technique irréprochable et un son démentiel (je conseille de jouer au casque pour repérer les ennemis qui arrivent), Battlefield Bad Company est un produit à ne pas rater, bien que je dois avouer m’en être personnellement lassé plus vite que je ne le pensais… les quarante ans ?

Les plus :
  • C'est vraiment fun.
  • C'est "zouli, très zouliii, très bôôô".
  • Çà fait un bruit d'enfer.
  • Enfin un solo convenable dans un Battlefield.
  • Pas de lag.
  • Des armes sympas.
Les moins :
  • Pas de parachute, c'est bien les parachutes.
  • Il faut s'habituer à l'image un peu granuleuse.
  • C'est toujours un peu la même chose.
  • Un peu moins de profondeur que les versions PC.
La note Gén68 (Tin tin tinnnnnnn... ) : 8/10

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lundi 28 juillet 2008

iphone 3G: le coup de gueule contre Orange.


iphone 3GVous vivez en France? Votre opérateur téléphonique s'appelle Orange? Vous lui êtes fidèle depuis longtemps? Au point d'avoir pu changer de téléphone grâce à vos point de fidélité ces dernières semaines? Bravo! Pour vous récompenser, Orange à le plaisir de vous annoncer... que vous ne pouvez probablement pas bénéficier du dernier iphone 3G !!! Oui, vous avez bien lu. Vous ne pourrez probablement pas bénéficier de l'iphone 3G, et non l'inverse. A moins bien sûr d'être richissime. Pourquoi? Mais justement parce que vous êtes un client trop fidèle bien sûr! Et que de ce fait, l'iphone 3G vous sera généreusement cédé entre 500 et 600 euros seulement! Parce que figurez-vous que si vous aviez été moins fidèle, soit comme nouveau client, soit en n'ayant pas utilisé vos points fidélité, alors vous pouviez prétendre à l'iphone 3G pour 150 à 200 euros maximum. Si je ne me trompe pas, ça nous fait tout de même un surplus de presque 400 euros en guise de prime de fidélité! Merci Orange :) Voilà un superbe exemple de relation clientèle qui marche la tête à l'envers. Un cas d'école dans quelques temps sans doute... Alors je vais être bon prince. Je vais vous donner deux trucs pour tenter de vous remonter le moral:
  • Vous pouvez toujours réduire au minimum votre abonnement Orange actuel pour le descendre à 18 euros par mois. Il ne vous reste plus qu'à ouvrir une nouvelle ligne, un peu comme un nouveau client. Vous perdez donc d'une part 18 euros par mois mais aussi votre ancien numéro de téléphone puisque nouvelle ligne implique nouveau numéro.
  • L'autre truc est beaucoup plus simple. Vous raisonnez, vous réfléchissez, vous cogitez... et vous en concluez que l'on se fout tout simplement de votre gueule. On vous prend pour un pigeon. Maintenant que vous êtes enferré dans les griffes d'un opérateur qui ne respecte pas ses clients les plus fidèles, vous n'avez plus qu'une solution: résilier dès que possible. Pour ça, vous pouvez, entre autre, utiliser la loi Chatel et attendre le tiers de votre durée d'abonnement (soit 8 mois pour 24 mois initiaux) puis résilier sans frais. Ou encore racheter vos mois restants à hauteur du tiers de l'abonnement maximal là aussi. Soit dit en passant, cette solution doit aussi marcher pour réduire la durée de paiement des 18 euros du premier cas.
Ma maman m'a appris que le respect, on le devait à tout le monde. Mais la vie m'a appris qu'il fallait aussi savoir se séparer de ceux qui se foutent ouvertement de vous. En ce qui concerne Orange, j'ai beaucoup plus envie d'appliquer les apprentissages de la vie que ceux de ma maman ! Pour moi, ce sera la deuxième option. A bon entendeur...

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samedi 26 juillet 2008

Capturino V2: un peu plus d'informations.


Comme promis et avec l'autorisation de Jean Paul BELLENGER, je vous donne ici quelques informations supplémentaires sur le très prometteur Capturino 2. Il semble que le produit soit encore en beta testing mais pour l'utiliser dors et déjà moi-même, je peux vous confirmer qu'il est tout à fait fonctionnel. Voici donc les nouveautés de la version 2:


- Le mode bi-écran avec la possibilité de faire glisser à gauche l'écran de droite pour bien ajuster les captures "à cheval".

- Capture et sélection possible sur 100% de la surface écran (la bordure a disparu !!)

- Touches de raccourci clavier plus simples.

- Capture possible du curseur (avec les touches de raccourci)

- Mode "multi-sélections" pour sélectionner plusieurs régions sur la même page

- Sélection plus précise avec rectangle prédéfini ajustable au pixel près

- Sélection rapide(à main levée) toujours disponible.

- Expédition directe par courriel des captures (outlook et windows mail)

- Upload direct des captures et préparation du lien pour message de forum (partenariat avec www.zimagez.com)

- Enregistrement automatique possible des captures (option à cocher)

- 4 formats pour l'enregistrement de vos captures (bmp, jpg, gif, png)

- Accès direct à l'éditeur de votre choix pour améliorer votre image (paint par défaut, mais vous pouvez en choisir un autre dans la fenêtre "Options")

Bref, largement de quoi faire! Encore une fois, je vous conseille vivement cette nouvelle mouture d'un logiciel que j'utilise déjà depuis plusieurs années. Capturino 2 touche à la perfection.

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vendredi 25 juillet 2008

Flux RSS: tutoriel 1.


Au fur et à mesure de la construction de ce blog, je me propose, à l'aide de quelques didacticiels, de vous faire partager la façon dont j'ai procédé pour le concevoir.

flux RSSSi vous avez pris la peine de lire mon article précédent Flux RSS : la théorie. vous admettrez avec moi qu'une première application logique serait de permettre à vos lecteurs de s'abonner à votre flux (syndication). Je vais mettre en pratique la chose sur mon site.

Sur blogger, la syndication est automatique comme nous l'avons déjà dit. Une manière simple de voir qu'un site est "syndiqué" est de repérer l'icone représentative juste à coté de l'adresse:

barre d'adressePour s'abonner, vos lecteurs qu'une chose à faire: cliquer sur cette icône ! Le problème est que le RSS est un concept relativement nouveau, au moins dans son usage. Les usagers ne savent pas encore comment en profiter. Ils connaissent encore moins le rôle de cette icône (je n'y connaissais rien moi-même il y a encore deux jours). Il faut donc faire quelque chose de plus explicite. C'est ce que nous propose l'interface de blogger:

  1. Entrez dans l'administration de votre blog (identifiant, mot de passe), puis cliquez en haut sur "Personnaliser". Vous accédez aux éléments de la page. Cliquez en haut à gauche sur "Ajouter un élément à la page":

    ajouter un élément à la page
  2. Dans la nouvelle page, vous pouvez voir que Google vous offre un nouvel outil d'abonnement qui fera tout pour vous! Choisissez-le:

    liens d'inscription
  3. La boite textuelle qui s'ouvre vous demande de donner un titre aux liens d'abonnement de votre site/blog. C'est ici qu'il faut être explicite...

    abonnez-vous à mes articles
  4. Enregistrez. Il est connu qu'un lien d'abonnement est d'autant plus efficace qu'il est placé là où les visiteurs regardent. En général, c'est le coin en haut à gauche qui est privilégié. Dans ma fenêtre des éléments de page, je vais donc supprimer le logo qui ne me sert à rien pour le remplacer par mes liens d'abonnement:

    lien en haut à gauche
  5. Enregistrez votre modèle. Je parlais juste au-dessus de lienS d'abonnement. En effet, comme vous pouvez le constater en réactualisant le blog, deux liens apparaissent: le premier sert à s'abonner à vos messages, le deuxième aux commentaires associés:

    résultat
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Didacticiel blogger: Flux RSS.


Au fur et à mesure de la construction de ce blog, je me propose,
à l'aide de quelques didacticiels, de vous faire partager la façon dont j'ai procédé pour le concevoir.

flux RSSIl y a quelques jours de cela, je vous ai proposé un article pour apprendre à insérer un flux externe d'actualités sur votre blog. Je pensais alors avoir une idée assez précise de ce qu'était un flux RSS. Mais après m'être plus amplement renseigné, j'ai découvert une véritable mines d'informations et de possibilités que je souhaite partager avec vous. Je vous propose donc une série de plusieurs aides:
  • Didacticiel blogger: Flux RSS, que vous êtes en train de lire...
  • Flux RSS: tutoriels, où je tenterai de vous montrer le plus exhaustivement possible la mise en œuvre des principes extrêmement séduisants que nous aurons vu dans la théorie.
En tant que blogueur ou webmaster je suppose que vous consultez vos sites/blogs favoris régulièrement, sinon quotidiennement. Même avec le système de marque page, leur consultation fréquente peut finir par devenir relativement fastidieuse, ne serait-ce que pour trouver l'information nouvelle dans un blog ou un site touffu.

Pour contrecarrer cette difficulté, parmi tant d'autres, le web propose un outil encore peu utilisé et relativement mal connu, mais qui se repend très vite dans la blogosphère: le flux RSS. RSS sont les initiales pour "Really Simple Syndication". On pourrait tenter de le traduire par : Procédé vraiment très simple qui rend disponible les informations d'un blog à d'autres sites ou blogs "! (je sais c'est un peu long mais l'anglais est une langue si condensée...)

L'utilisation de flux RSS va donc vous autoriser l'accès aux dernières informations de vos sites préférés sans qu'il ne soit nécessaire de les consulter tour à tour, l'un après l'autre... Mais ce n'est pas tout. Il vous sera possible à l'aide de systèmes de filtres appelés Radars de ne sélectionner, à l'intérieur même de ces informations, que celles qui répondront à vos critères: un mot, une expression, un auteur, etc, etc... Par ailleurs, les Flux RSS ne se contentent pas de gérer les nouveaux articles de vos sites et blogs favoris, mais aussi...
  • les vidéos
  • les images
  • les informations
  • la musique
  • les podcasts
  • et pourquoi pas , les cours de la bourse, les enchères Ebay...
Voila déjà quelques bonnes raisons de vous intéresser aux flux RSS. Mais le meilleur reste à venir...

Bien entendu, vous pouvez utiliser à votre avantage cette technologie pour alimenter les sites de vos lecteurs. Et ce même si votre blog/site ne propose pas une diffusion interne de vos posts sous forme de flux RSS (blogger propose une syndication automatique de votre blog: dès sa création, tous vos articles sont automatiquement mis dans un flux RSS auxquels vos lecteurs peuvent s'abonner). L'avantage pour vous est le même que celui que nous avons déjà souligné précédemment: vos lecteurs peuvent suivre vos articles sans consulter systématiquement votre site, sans perte de visites bien entendu. En fait, vos articles leur sont offerts sur un plateau. Ils n'ont plus qu'à cliquer! Evidemment, vous pouvez également syndiquer toutes votre "production": articles, vidéos, images, podcasts... Tout ceci est à mon humble avis déjà extrêmement alléchant...

Mais voici la cerise sur le gâteau. En utilisant judicieusement le système de flux RSS et de Radars que nous avons décrit rapidement ci-dessus, il vous est possible de construire des ego-Radars. Imaginez un procédé vous permettant de connaitre en temps réel toute intervention, conversation, échange à votre sujet ou au sujet de votre blog/site ? Il vous serait alors possible de répondre immédiatement à tout commentaire vous concernant, bon ou mauvais, à toute référence à votre blog, opportune ou non. Vous optimisez ainsi à l'évidence le contrôle de votre blog, la façon dont on le voit, tout en vous faisant connaître par la "systématisation" de vos réactions. Je vous laisse envisager l'ampleur des conséquences d'une bonne utilisation d'un ego-Radar sur la fréquentation de votre blog !

En outre, notez qu'en transposant vos nouveaux articles sous la forme d'un flux RSS, vous prétendez à un nouveau type d'annuaires qui sont complémentaires des annuaires de sites ou de blogs : les annuaires de flux RSS tout simplement. Et qui dit plus d'annuaires où souscrire, dit plus de fréquentation :)

Merci à Robin Good et à son article sur le sujet.

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mercredi 23 juillet 2008

Tutoriel: automatiser la traduction d'un blog.


Au fur et à mesure de la construction de ce blog, je me propose, à l'aide de quelques didacticiels, de vous faire partager la façon dont j'ai procédé pour le concevoir.

traductionUne fois n'est pas coutume, je vais faire court ! Il est toujours intéressant d'être lu par le plus de monde possible. Dès lors, pourquoi ne pas insérer un traducteur automatique au sein du blog le rendant accessible au monde entier? Après quelques recherches, et bien que je n'ai pas d'actions chez Google (vous pourriez commencer à la croire...), je dois admettre que le seul outil du genre qui me semble suffisamment fiable est le traducteur Google en version Beta (non finalisé). Les plus motivés d'entre vous peuvent aller voir directement sur le site: http://www.google.com/translate_tools?hl=fr. Pour les autres, il suffit de suivre la manœuvre:

  1. Entrez dans l'administration de votre site (identifiant, mot de passe). Cliquez sur "Personnaliser" en haut à droite, puis sur "Ajouter un élément à la page" dans les éléments de la page.
  2. Dans la nouvelle fenêtre, choisissez un élément HTML/JavaScript puis placez-le où vous le souhaitez. Taper le titre: il me semble judicieux d'y inclure au moins quelque chose du genre "Choose your language" car n'oublions pas que cet outil est destiné aux non francophones.
  3. Dans la partie basse de la fenêtre qui doit être complètement vide, recopiez le fragment de code ci-dessous. Je suis désolé mais pour des raisons techniques que je vais tenter d'élucider je n'ai pas pu vous donner ce code à copier/coller ce qui aurait été plus simple:

    code
  4. Enregistrez le code, puis enregistrez le modèle. Affichez ensuite votre blog. A l'emplacement que vous avez choisi, vous devez maintenant voire une nouvelle boite déroulante Google dans laquelle la langue de traduction de votre blog doit être sélectionnée. C'est fini !

    google traduction
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mardi 22 juillet 2008

Tutoriel Google Analytics: ouvrir un compte.


Au fur et à mesure de la construction de ce blog, je me propose, à l'aide de quelques didacticiels, de vous faire partager la façon dont j'ai procédé pour le concevoir.

google analyticsGoogle Analytics (GA) est un service entièrement gratuit, accessible à tous. Il permet un suivi extrêmement complet de la fréquentation de son site. Il est plutôt judicieux de l'installer et de le paramétrer dès la conception du blog. Comme GA est déjà installé pour mon blog génération68, j'ai pensé à vous en faire la démonstration sur un autre site créatif que je gère. Je vous invite à le visiter d'ailleurs tant les œuvres que l'on y expose sont un enchantement pour l'œil: www.vero-sadako.com . Veuillez noter que le site en question est un site over-blog, ce qui prouve bien la versatilité de GA. On accède au site d'ouverture de compte et d'inscription à l'adresse: http://www.google.com/analytics/fr-FR/ .

  1. Une fois sur la page d'accueil, comme vous n'avez pas encore de compte, cliquez sur "Inscrivez-vous dès maintenant":

    google analytics 2
  2. Sur la nouvelle page, après une brève présentation de GA (Vous avez vu ? C'est intéressant hein ?), cliquez une nouvelle fois sur l'option d'inscription:

    google analytics 3
  3. Vous arrivez enfin à la page de création du compte où il vous faut rentrer l'adresse mail associée à votre blog tant qu'à faire, un mot de passe propre à GA et enfin les caractères anti bots:

    google analytics 4
  4. GA vous envoie alors un mail de confirmation àl'adresse que vous avez fournie. Il vous faut cliquer sur le lien offert pour valider votre inscription. Attention, il peut falloir plusieurs heures avant l'arrivée du mail en question:

    google analytics 5google analytics 6
  5. Une fois la confirmation effectuée, retournez sur GA http://www.google.com/analytics/fr-FR/ puis entrez-y (dans la zone des abonnés cette fois) votre adresse mail et le mot de passe propre à GA:

    google analytics 7
  6. Vous accédez à une page vous présentant les services Google auxquels vous êtes automatiquement inscrits (Analytics et Historique Web) ainsi que ceux auxquels vous pouvez prétendre et que je vous laisse le soin d'étudier. Certains peuvent s'avérer extrêmement intéressants d'autant qu'ils sont pour la plupart gratuits, au moins pour leurs prestations de base:

    google analytics 8
  7. En cliquant sur "Analytics" vous trouvez la dernière étape d'inscription au service. Cliquez sur "Inscription":

    google analytics 9
  8. Vous allez indiquer maintenant à GA le site qu'il doit traquer et quelques informations complémentaires:

    google analytics 10
  9. Après acceptation des conditions d'utilisation de GA, vous arrivez sur la partie importante du paramétrage de GA pour votre site. Pour que GA puisse effectivement traquer votre blog, il faut insérer sur celui-ci un code pré-construit qu'il vous suffira de copier puis de coller au bon emplacement. Pas de panique donc ! La démarche est aisée . Nous allons montrer une manière de faire sur un blog over-blog mais retenez que la démarche est encore plus simple pour un blogger. Tout d'abord, voici le code en question. Il est grisé sur cette capture d'écran car certaines informations sensibles s'y trouvent. Sélectionnez-le dans son entier puis copier-le (Ctrl-C):

    google analytics 11
  10. Il faut maintenant intervenir sur le blog lui-même pour y coller le code fourni par GA. Rien de plus simple. Pour un blog Over-Blog, il faut entrer son identifiant puis son mot de passe pour accéder à l'administration du blog. Une fois sur place, cliquez sur " Configurer" puis "Mise en page". Pour le blog de Véro Sadako, j'ai introduit en bas de page un texte libre (voir photo) afin d'y copier du contenu HTML, c'est à dire du code (en l'occurrence pour afficher le nombre de visiteurs présents sur le site actuellement). Dans votre cas, ce sera à vous de le faire. D'une manière générale, il vaut mieux introduire le code GA au plus bas de la page car il peut ralentir le chargement de la page. S'il est en fin de page le ralentissement n'a pas d'impact sur le temps d'attente du visiteur qui consulte le site. Pour modifier le code, on clique tout d'abord sur le petit marteau:

    google analytics 12google analytics 13
  11. Le texte qui s'affiche dans la nouvelle fenêtre (si texte il y a, ce qui n'est pas certain) est un texte normal. Pour travailler sur le code à proprement parler, il faut passer en mode HTML. Pour cela, il suffit de cliquer tout à gauche de la fenêtre sur le mot "html". Selon les cas, la fenêtre peut être soit vide soit déjà inclure du code comme dans mon cas. Voici le code qui apparaît sur mon blog avant la copie du code GA:

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  12. Et voici le code qui apparaît une fois le code GA (grisé) copié à la suite du code initial. Dans votre cas, il est possible qu'il n'y ai que le seul code GA:

    google analytics 15
  13. Enregistrez vos changements, quittez l'administration de votre blog puis actualisez le en cliquant n'importe où sur la page d'accueil puis en appuyant sur F5 pour activer le nouveau code GA. Maintenant, retournez sur GA http://www.google.com/analytics/fr-FR/, entrez votre adresse mail le mot de passe. La page qui se présente alors vous propose d'examiner le "profil de site web". Ce qui nous intéresse ici est la colonne d'état où vous devriez normalement constater un "code de suivi inconnu". C'est normal. Pour normaliser les choses, cliquez juste en dessous sur "Vérifiez l'état":

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  14. Un message s'affiche vous indiquant que la collecte des données à commencée. Attention, il faut au moins 24 heures avant de voir les premiers résultats exploitables. Quand vous reviendrez sur le "profil de site web", vous pourrez constater que le suivi est configuré:

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  15. Maintenant, lorsque vous vous connecterez à GA (identifiant, mot de passe), vous pourrez accédez au tableau de bord de la fréquentation de votre blog. Ce dernier mériterait un tutoriel à lui tout seul tant il est complet. Voici une idée du genre d'information que vous y trouverez. Ici tout est à zéro car d'une part GA n'a pas encore eu le temps de collecter toutes les informations puisque il lui faut environ 24 heures la première fois. Par ailleurs, ce genre d'informations est confidentiel, notamment pour la gestion de sites commerçants. Profitez-en bien !

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Test PSP : deux accessoires indispensables pour la nettoyer.


Heureux possesseur d'une magnifique PSP white ceramic, je voulais vous faire profiter de deux accessoires dont j'ai l'usage depuis maintenant plusieurs années. J'ai acquis ma première PSP (une noire bien entendu) et les accessoires en question le jour de sa sortie. C'est donc avec une certaine expérience que je vous conseille à coup sûr...

  1. ... le fabuleux Playgear Pocket Case de Logitech.

    playgear pocket caseJe ne connais pas de meilleur moyen de protéger votre PSP que cette coque plastique ultra résistante dont l'intérieur est tapissé d'une espèce de silicone qui enveloppe parfaitement la console. ATTENTION néanmoins, ma PSP est une machine de première génération et je ne sais pas (en fait, je ne crois pas...) que ce boitier soit adapté à la Slim and Light. A vérifier donc...

    orifices dégagésplaygear pocket case ouvert et videplaygear pocket case avec psp

    A noter que l'ensemble des orifices sont accessibles. On peut donc recharger et théoriquement jouer avec le boitier. Dans ce dernier cas, il peut d'ailleurs servir de pare-soleil. Pour ma part, je ne joue jamais dans le Playgear. J'y ai noté une très légère surchauffe à l'arrière de la machine après quelques heures d'utilisation à l'intérieur. Mais je suis un peu puriste et excessif sur ce genre de chose...
  2. En réalité ce n'était pas tant pour vous parler du Playgear que j'ai fait cet article. L'accessoire est déjà relativement connu. Par contre, ma deuxième proposition, elle, est déjà nettement plus originale et surtout, à mon sens, nettement plus indispensable :playgear pocket case avec psp et brosse à blush
    Et oui ! Il s'agit d'une simple brosse maquillage pour Blush. Au tout début de mon acquisition (je parle de la machine), je suis tombé dans le piège des protèges écran auxquels nombre d'entre vous ont été confronté. J'avais alors trouvé un excellent produit (japonais bien sûr) que j'avais mis un sacré moment à appliquer convenablement sur ma PSP. Cet exploit, car il s'agit bien d'un exploit, je ne l'ai réussi qu'une fois: quand il s'est agit de nettoyer une fois l'an l'écran puis d'appliquer à nouveau un protège écran... je n'y suis tout simplement plus jamais arrivé. D'où ma conclusion logique (du point de vue du respect des couleurs et de la luminosité aussi d'ailleurs) que je devais laisser mon écran nu. Mais alors comment enlever régulièrement la poussière et autres cochonneries se déposant dessus sans rayer le support ? La brosse à Blush bien sûr ! C'est véritablement l'outil fondamental à tout possesseur de PSP. Voici la démarche que je préconise pour le nettoyage de l'écran: passer un coup de brosse à blush sur l'écran mais aussi sur l'ensemble de la machine (ça ne mange pas de pain). Vous évitez ainsi de laisser sur l'écran les minuscules corps (poussière, sable...) souvent invisibles qui sont à l'origine des micro rayures justement. On peut alors appliquer (immédiatement après) une lingette nettoyante adaptée. J'achète les miennes à la Fnac. Attention à ne pas prendre les boites double lingettes (50 humides, 50 sèches) complètement inadaptées ! Il faut prendre les boites de 100 lingettes humidifiées qui sont impeccables. Voilà. J'ai cité pas mal de marque dans cet article mais je vous promets qu'il ne s'agit que de conseils perso. Je ne touche (encore...) malheureusement rien de ces sociétés... :) Bon nettoyage !
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Conseils généraux: Voila Capturino 2!


capturino 2J'en parlais dans mon dernier post: j'ai décidé de télécharger et d'utiliser la toute dernière version de Capturino (Capturino V2) pour gérer l'ensemble des captures d'écran de mon blog. Parmi un grand nombres d'autres améliorations, Capturino permet dorénavant de retoucher en interne une image capturée grâce à un logiciel de votre choix (c'est Paint qui est proposé par défaut). Il ne s'agit pas ici de proposer un test de Capturino, mais on peut tout de même noter que le logiciel à l'air nettement plus fini que la version antérieure. Merci donc encore une fois à Jean Paul BELLENGER .

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dimanche 20 juillet 2008

Tutoriel: ajout d'un flux RSS externe.


Au fur et à mesure de la construction de ce blog, je me propose, à l'aide de quelques didacticiels, de vous faire partager la façon dont j'ai procédé pour le concevoir.

Merci à Jean Paul BELLENGER, créateur du très précieux Capturino 1.4 qui m'a permis de prendre les captures d'écran de ce tutoriel et de l'ensemble du blog. La version 2 semble dors et déjà téléchargeable.

flux RSSLe pitch:
J'ai un tout petit peu "galèré" pour introduire un flux d'information "jeux vidéo" sur mon site. J'ai tout d'abord procédé en introduisant un flux externe à blogger. Mais le rendu ne me convenant pas, j'ai tenté de comprendre le paramétrage de flux interne à blogger que je n'avais initialement pas compris. Voici la démarche photos à l'appui:


La soluce:
Dans votre navigateur, entrez tout d'abord l'adresse suivante: http://pretty-rss.snyke.com/get-your-script.htm

  1. Vous accédez alors à snyke.com, un site qui vous permet de trouver puis d'insérer facilement un flux sur votre blog. L'écran initial est le suivant:

    snyke.com

  2. La première chose à faire est de cliquer en haut sur l'onglet "Annuaire RSS". Apparaît le formulaire de recherche d'une url de flux à partir d'un nom du site. Personnellement, je suis intéressé par le flux de news du site Gamekult.com (un flux comme un autre à vrai dire). Dans la boite textuelle je tape donc l'adresse du site www.gamekult.com puis je clique sur "chercher":

    annuaire RSS

  3. On obtient alors l'écran suivant sur lequel figure en vert l'adresse qui nous intéresse : celle du flux de news de gamekult.com qu'il faudra entrer dans le gestionnaire interne de flux de blogger. Pensez d'ailleurs dès maintenant à coller l'adresse verte en question dans le presse-papier (Ctrl-C):

    flux de news gamekult.com

  4. Revenez maintenant sur la section "Personnaliser" de votre blog. Cliquer sur "Ajouter un élément à la page". Une nouvelle fenêtre apparaît avec tous les éléments que l'on peut insérer dans un blogger. Celui qui nous intéresse est un peu plus bas dans la fenêtre et se nomme "Flux" tout simplement:

    flux
  5. Dès que vous cliquez sur l'option "Ajouter au blog" de l'élément "Flux", une nouvelle fenêtre s'ouvre vous invitant à entrer l'adresse de flux que l'on a préalablement copiée dans le presse-papier. Il ne nous reste plus qu'à la coller dans la boite textuelle:

    flux copier coller

  6. L'extraction du flux à alors lieu et celui-ci est affiché là ou vous le souhaitez sur votre page. Il vous est possible d'en changer le titre et de le déplacer comme tous les autres éléments de la page. J'ai nommé le mien "Dernières news du jeu vidéo" et je l'ai placé en troisième position après le "Qui suis-je ?" et "la grande foire aux questions":

    emplacement flux

  7. Le flux apparaît bien sur le site. D'ailleurs vous pouvez voir le mien dans la colonne de gauche du Blog. A vous de jouer !
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Test PSP Everybody's Golf 2


AVERTISSEMENT : si vous êtes du genre à privilégier les belles images et les belles musiques au plaisir de jeu, changez de site ! Viiite. Ici, apanage (peut-être...) de la quarantaine assumée et de l'expérience associée, seul compte le fun. Quand bien même l'emballage ne suit pas... Bien entendu, quand le mariage du fun, des belles images et des belles musiques est là, c'est tant mieux et nous ne manquerons pas de le souligner. Par ailleurs, les test de Gen68 sont constamment "en devenir". Le test du jeu ne paraît que lorsque je considère avoir quelque chose à en dire. Mais rien n'interdit de progresser dans son jugement, d'apercevoir des choses auparavant inaperçues, de trouver ultérieurement des erreurs grossières jusque là bien cachées et je ne sais quoi d'autre... Tous les articles seront par conséquent édités plusieurs fois. Ça aussi ce doit être l'apanage de la quarantaine !


everybody's golf 2 pspC'est fou ce qu'on peut dire en quelques mots hein ? Comme son nom l'indique Everybody'sGolf 2 (Hot Shot Golf 2 sous sa livrée Anglo-saxonne) est une simulation de Golf et la suite d'un jeu paru il y a quelques années. Les différences entre cette nouvelle version et la précédente semblent relativement peu nombreuses. Pour ce que j'ai pu en juger jusqu'à maintenant, elles résident dans le fait que votre personnage peut cumuler deux accessoires au lieu d'un seul, que le nombre de parcours est plus important et , quand même, que le jeu supporte le multijoueurs en infrastructure. Allez, on développe...
L'originalité de EBG2 réside à deux niveaux : tout d'abord, le design général du jeu est extrêmement mignon avec son style manga rigolo. Le coté sympathique de ce choix artistique est mis en valeur par un système d'accessoires et de vêtements qu'il faut cumuler et marier pour obtenir certains bonus. Ceux-ci, à leur tour rendent les coups plus faciles ou plus précis notamment. Le truc marrant est que pour obtenir de bons résultats, il faut parfois habiller son personnage de la façon la plus ridicule qui soit : le mien ressemble actuellement à un sumo dont le club de golf est une batte de base ball, les yeux couverts de lunettes de soleil ridicules (c'est toujours un peu ridicule les lunettes de soleil non ?...) et surtout le nez aplati par un masque de docteur !
La deuxième originalité est le système de jeu en lui-même: Dans le mode défit, on fait tout d'abord le choix d'un vêtement/accessoire à gagner: un élément de tête améliorera le contrôle de la balle, un élément de corps améliorera la puissance du coup tandis qu'un accessoire (et donc vous en avez deux cumulables) vous boostera le spin, c'est à dire les effets de la balle (au tennis on dirait une belle liftée, une balle slicée, un amorti etc etc ...). On se retrouve ensuite en tournois, sur un parcours prédéfini, contre plusieurs adversaires ou en duel. Dans le premier cas heureusement vous n'avez accès qu'a la feuille de score après chacun de vos coups. Il serait trop long de voir tous les coups de la vingtaine de participants! Mais dans le mode duel, libre à vous de regardez les coups de votre adversaire et d'en tirer quelques enseignements. Les parcours font 9 ou 18 trous sur des parcours extrêmement variés. Un véritable voyage virtuel au quatre coin du monde.
Pour réaliser concrètement vos coup , il faut trois étapes: un premier appui sur la touche "croix" lance la jauge de puissance. Sur celle-ci figure le relief du terrain ainsi que la position relative du trou (sous la forme d'un petit drapeau) pour vous aider. Il suffit en général de s'approcher le plus possible du drapeau figurant le trou en tenant compte de la pente et du vent (qui est inconnu au départ mais représentée tout de même comme nous le verrons) pour réussir une belle approche. Après ce premier appui, la jauge revient en sens inverse vers la zone d'impact. Si vous tapez pile poil sur le repère, vous réussissez un "coup parfait" (mais pas forcément dans le trou attention !). Il faut entendre par là qu'il autorise les effets: ce n'est qu'à cette condition que vous pouvez réussir un "Super Spin" c'est à dire un coup lifté ou slicé dont la particularité est que, si jamais il cogne le drapeau de signalement du trou, alors d'une manière ou d'une autre et souvent de la façon la plus drôle, la balle rentrera dans le trou! Pour créer cet effet, il faut réussir à entrer une combinaison spéciale de touches directionnelles simultanément au déplacement de la jauge. Si vous êtes autour du repère le coup sera bon mais sans spin ou alors très dilué. Un peu plus loin du repère et vous tapez alors trop à gauche ou trop à droite. Enfin si vous êtes vraiment loin du repère (un spasme sans doute ...), vous faites un coup "tête de mort" et la balle va réellement n'importe où !
Le point auquel il faut également être attentif est le vent. Un appui sur la touche "start" avant de jouer vous permet de voir le terrain en vue d'avion. On peut alors discerner sous forme de petits traits blancs évanescents et mouvants le sens et la force du vent (peut être une autre nouveauté du titre car je ne me souviens pas de ça dans le premier...). L'idée est très simple: dès que le vent est apparent il faut compenser.
Votre objectif unique dans le mode défit est d'arriver le premier. En tournois, vous gagnez alors une ou deux cartes suivant votre avance. En duel, vous remportez le personnage contre lequel vous jouiez. Il présente normalement des aptitudes initiales différentes de vos autres avatars. Le problème est que tant que l'on se sent à l'aise avec un personnage, on ne ressent aucunement le besoin d'en changer. Pour ma part je suis déjà très avancé dans le jeu mais je n'envisage toujours pas de me séparer de mon premier personnage, luke, que j'ai déjà fait pas mal évoluer. D'autant que le jeu lui-même vous incite à garder le même joueur par un système de fidélité.
Les cartes vous font évoluer en modifiant qui votre niveau de puissance, qui votre zone d'impact, qui votre puissance de spin... Parfois, elles sont agrémentées d'un bonus sous la forme d'une balle ou d'un club spécial qui joueront un peu de la même manière que les cartes vêtements et accessoires en modifiant vos aptitudes.
D'autres modes de jeu existent mais je dois avouer ne pas m'y être trop essayé à l'heure actuel. Il y a tout d'abord bien sur un mode entraînement permettant de... s'entraîner ! Mais il est surtout le seul a permettre de "fouiller" le terrain à la recherche d'objets ou d'avatars planqués! Ces derniers comme les autres apportent leur lot de bonus. Il est simplement dommage de devoir passer par l'entrainement pour se les procurer. Pour ma part, bien qu'ayant vu moult fois ces bonus sur le parcours (soit de manière évidente, soit sous la forme d'un flash intriguant), je n'ai jamais pu y accéder au risque de perdre bêtement un coup en tournois. Ils sont en effet toujours décentrés de la trajectoire idéale. Par conséquent, n'ayant toujours pas pratiqué d'entraînement (mais ça viendra avec la difficulté progressive du jeu), je n'ai pas encore attrapé un seul de ces objets ou personnages cachés.
Un autre mode "mini jeux" vous demande de placer vos balles dans des "trous à points" en tentant de gagner le plus de points possibles bien sûr. Intéressant quand on y est mais bon, on revient quand même vite au défit.
Quant au mode multijoueur, je dois avouer ne pas encore avoir vraiment essayé : à mon premier essai je n'ai pas obtenu de connexion. A voir dans le futur donc et j'éditerai l'article au besoin. Je tiens tout de même à souligner que, bien que certainement performant, le mode multijoueur n'est en aucun cas indispensable. Le jeu en solo se suffit largement à lui même, d'autant que la difficulté semble extrêmement bien posée. Mais enfin, il doit être sympa de faire quelques balles en mode infrastructure.
Encore une fois, cet article sera certainement plusieurs fois édité avant que de le laisser tel quel. Mais on peut déjà en tirer une vraie conclusion: jouer à Everybody's Golf 2 est un grand plaisir dont on ne se lasse pas malgré la relative répétitivité du jeu (par la force des choses ! C'est un jeu de golf pas un Square-Enix... ). On trouve un plaisir jubilatoire à réussir certains "coups parfaits", à réussir des Spin, à tenter des Eagles ou même des "Albatros" (coup en 1, pas encore réussi ça...), à gagner des cartes et des personnages même si on en fait rien. De par la simplicité de son système de jeu, EBG2 est le prototype de jeu fait pour une console portable. On joue quand on veut, pour la durée qu'on veut. C'est sans doute la manière optimale de faire pour ne pas de lasser du jeu sur le long terme. De manière similaire, même après une longue période d'inactivité, on est toujours sûr de revenir avec aisance sur le jeu. C'est un énorme point fort car je ne compte plus les jeux auxquels j'ai définitivement arrêter de jouer suite à une trop longue interruption... Merci Ebay, mais bon c'est quand même pas gratifiant !
Au chapitre des regrets, mais certainement pas de nature à renoncer au jeu, on peut encore une fois remarquer l'impossibilité de trouver les objets hors mode entrainement. Mais surtout, il y a une chose qui m'a véritablement gêné dans ce jeu (comme dans le premier d'ailleurs): malgré l'honorable manuel, certains éléments de l'interface de jeu ne sont pas aisément compréhensibles au premier abord. Il y a entre autre une espèce de flèche verte sur la feuille de mon personnage sous laquelle est indiqué "moyen"... mais moyen quoi ? Et c'est le cas pour pas mal d'autre petites choses. Dans le même ordre d'idée, à un moment du jeu vous débloquez la possibilité de moduler à la hausse ou à la baisse votre coup en tapant "Triangle" ou "Rond" pendant l'impact sois disant. Je dois avouer le faire, mais je n'ai encore trouvé aucun moyen d'être certain d'un effet quelconque de la manœuvre ! Bref, quelques éléments mériteraient d'être plus explicites! A vrai dire, il est toujours possible de trouver des "études" faites par des passionnés qui expliquent tout en détail (je pense aux fameux "walktroughs" de www.ign.com par exemple) mais il est dommage d'en venir là pour comprendre parfaitement tous les mécanismes du jeu.

Les plus :
  • Un design top.
  • Un gameplay hyper addictif : ça suffit pour acheter le jeu.
  • Un rapport qualité prix exceptionnel: le jeu est vendu neuf au premier jour à 29 euros !
  • Un vrai voyage virtuel. Çà tombe bien, on est en vacances.
  • Parfaitement adapté à la PSP, où alors c'est elle qui est adaptée au jeu !
  • Un mode multi pour allonger la "déjà-plus-que-conséquente" durée de vie.
  • Une progression de la difficulté étudiée.
Les moins :
  • Il faut y jouer par à coup pour ne pas tomber dans la répétition.
  • Quelle incitation à changer de personnage ?
  • Je me trompe où seul le mode entrainement permet de "fouiller" le terrain ?
  • Faut arrêter les âneries là hein ... y a rien d'autre de bancal dans ce jeu !
La note Gén68 (Hou la laaaaa... ) : 9/10

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La foire aux questions :


Vous avez une question ? Sur un jeu, une console ou autre? C'est ici. Il suffit de poser votre question sous forme de commentaire et j'y répondrai dans la mesure de mes possibilités. Bien entendu, étant seul, attendez-vous à énormément de "je ne sais pas !". Mais de temps à autres une réponse convenable et utile doit être possible... Si vous pensez connaître une réponse, faites m'en part. Si elle s'avère bonne je la présenterai à votre pseudo bien entendu. "Now, it's up to you". A vous de jouer!

samedi 19 juillet 2008

Pourquoi ce blog ?


naissance d'un blogAujourd'hui, j'inaugure ce nouveau blog. Cela fait près de 10 ans que j'aurais du lancer la chose. Mais premièrement la "chose" n'existait pas. Pour le reste, le courage a certainement du me manquer. Mais bon, il est là ! Alors pourquoi ce blog ?
De manière concise, je me rends de plus en plus compte d'un décalage entre la presse jeux vidéo spécialisée et mes attentes, opinions, avis, envies... dans le domaine. Malgré son évolution et sa diffusion fulgurantes ces 2O dernières années et l'émergence de ce que l'on appelle le "serious gaming", le jeu vidéo reste estampillé "activité jeunesse". Je fais pourtant parti d'une génération (génération 68) qui a vu la naissance du jeu vidéo. Qui en a suivi le cheminement. Qui le connait mieux que beaucoup. Qui vit avec et qui sans doute mourra la manette entre les mains, ou pas loin!
Alors, nous autres quadragénaires passionnés, nous retrouvons-nous dans les tests et analyses de nos amis de 20 ans, pigistes, webmasters, rédacteurs en chef... ? Oui, en grande partie. Car la substance reste la même. Mais pas entièrement. Car notre expérience nous force à évaluer le domaine à l'aune de nos joies, déceptions et découvertes passées. Bref, nous ne voyons plus les choses exactement de la même façon: c'est la raison d'être initiale de "Génération 68 et Jeux Vidéo". On en trouvera pleins d'autres ensemble.

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Qui suis- je ? Le petit résumé qui vous fera comprendre le comment.


stunt island 1J'ai 39 ans. Très bientôt 40. Je me qualifie de quadragénaire, en tout cas passionné, peut-être même amoureux du jeu vidéo. Presque tombé dedans étant petit, comme un copain à moi dans le chaudron de potion magique de son village. Je suis instituteur et j'habite Paris intra-muros.
Mon amour pour l'informatique date de ce jour des années 80 où -mon père n'ayant rien compris à mon attrait pour ce qui allait être au cœur de nos vies quelques années plus tard, et certainement trop près de ses sous également- je me suis fais offrir mon premier ordinateur Commodore 64. Merci encore à MON ami Belge qui me sera toujours très cher, bien qu'aujourd'hui disparu. C'est sur cette machine que j'ai fait mes premiers pas en programmation. Je pense encore aujourd'hui que c'est cette pratique de la logique numérique qui a décidé de mon parcours personnel. Et de ma façon de raisonner. Je me souviens très bien qu'alors seule la programmation à proprement parler m'intéressait. Je considérais d'ailleurs comme une hérésie, ne serait-ce que de songer à utiliser un ordinateur pour jouer. C'est à dire pour faire autre chose qu'élargir mon empan cérébral ! Que de chemin depuis... Ce fondamentalisme a duré quelques temps. Jusqu'au jour où, je m'en souviens comme si c'était hier, je passe devant la vitrine d'une boutique de l'avenue de la République (coin réputé des joueurs parisiens). Je tombe alors dénue devant une démo de Falcon (simulateur d'avion de chasse) tournant en boucle sur Atari ST. Ma passion pour la simulation informatique, aujourd'hui quelque peu diluée tout de même, ne m'a plus jamais quittée. Me voila de retour à la maison avec le sus-dit Atari et ce que je peux considérer être mon premier jeu: Falcon premier du nom (A vrai dire, j'avais déjà quelque peu tâté d'une version de Flight Simulator sur mon Commodore 64 mais passons...). Le virus s'est introduit et je pense qu'il ne me quittera qu'à mon dernier jour. Les années passent à jouer paisiblement à des jeux toujours meilleurs (la série des LucasArt, Half Life, Ultima Martian Dream, les excellentissimes Gabriel Knight... ) sur des machines toujours plus performantes (Amiga, puis PC). En 92-93, profitant de mon service militaire, je tente ce qui était un exploit à l'époque. Entrer dans le milieu déjà très fermé du jeux vidéo professionnel. Je commence par piger pour des magazines de jeux vidéo "de l'époque" (Non "Tilt" n'existait déjà plus, mais ça s'est joué à peu... J'ai connu Morgan Ferroïd entre autre). Puis, dans le cadre d'articles sur les moteurs de rendu et autres modeleurs pour un magasine spécialisé dans l'image de synthèse (une autre de mes grandes passions passées). A force de pousser les portes, mais encouragé surtout par la qualité de l'un des plus grand jeu de l'histoire Stunt Island , je finis par être embauché comme assistant marketing chez celui qui était alors le leader Européen du jeu vidéo. Malheureusement à cause d'un... disons... malentendu salarial et peut-être aussi d'une divergence de conception, je n'y suis resté que 15 jours (!!!) avant de revenir dans "Paris, ma bonne ville" pour y finir mes études. Les boursicoteurs parmi vous admettrons que l'avenir m'a donné raison en quelque sorte... C'en était déjà fini du pan professionnel du jeu vidéo dans ma vie. Je n'y ai rien gagné de matériel, d'autant que l'un des magasines ne m'a jamais payé mes piges! Par contre, cette période à conforté chez moi cet amour irraisonné pour notre passion commune. Elle me dévore encore aujourd'hui, presque 15 ans plus tard. Possesseur de la quasi totalité des plateformes de jeux actuelles, portables ou de salon, je pense qu'il est temps aujourd'hui de structurer mes "déraisons" à travers ce blog. J'espère en faire quelque chose susceptible de vous intéresser quelque peu... au moins! Ci-dessous quelques photos "in-game" de Stunt Island. La photo d'intro est celle de la jaquette du jeu à l'époque je crois.

stunt island 3
stunt island 2









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